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16 000 kilomètres plus tard : le temps d’une pause.

15 septembre 2017

Aïe aïe! 16 000 kilomètres déjà. Dire que cette pauvre voiture a mangé plus d’asphalte avec nous en sept semaines que durant les 11 années qu’elle a eues avec son ancien propriétaire. Nos jambes aussi en ont du kilométrage. Vous devriez voir la bette de nos bottes de randonnées. Disons qu’elles ont, elles aussi, connu des jours plus faciles. Des hauts et des bas, des fous rires et des sacres, de bons moments de complicité : notre voyage est à peu près une surprise de jour en jour. Le pire dans l’histoire ? Nous sommes probablement chacun, de manière un peu différente, reconnus pour nos talents d’organisation. Nous pratiquons le laisser-aller (pas trop le choix quand Dame Nature fait des siennes avec sa pluie et ses feux de forêt) et de se « virer sur un 10 cents » (des fois, ça fonctionne, d’autres fois, non). Nous avons bien profité du parc national de Yoho qui nous a offert de belles températures (parfois même un peu « trop » chaudes).

Notre route depuis le début du périple !

Calgary

Bref, nous allons rester une semaine complète au même endroit : Calgary. En plus du travail, nous ressentons un peu le besoin d’être dans une « vraie » ville. En plus de certaines pièces d’équipement à acheter et de pièces de voiture à changer, nous allons en profiter pour nous mettre à jour dans nos aventures sur ce blogue (je sais, j’aurai pu vous le dire dès le début puisque c’est ce que vous attendiez, mais j’ai choisi de vous faire attendre un peu). Nous serons donc un peu plus actifs sur ce blogue, mais aussi sur notre Instagram et sur notre Facebook (d’ailleurs, est-ce vous nous suivez sur ces médias sociaux?).

Attendez vous aussi d’être bombardé (oui, c’est le bon mot) de photos de café. Nous avons rencontrer un couple d’Albertains qui nous ont promis de nous montrer les meilleurs endroits de cafés (et de bières) que Calgary a à offrir. Depuis ce temps, Francis rêve depuis d’espresso. Voici à quoi ressemblent mes réveils depuis une semaine:

Francis: Julie, on se lève-tu?
Julie: ZzzzzZZZZ… 5 minutes…ZZZZzzzzzZZZzzzz
Francis: Heille, j’ai encore rêvé de café cette nuit. Je pense que je m’ennuie de notre machine à espresso.
Julie: Francis, tu exagères. Ce n’est pas comme si nous aurions pu l’apporter dans notre voiture.

Sérieux, c’est un peu comme le jour de la marmotte. Bref, vivement qu’il aille son café (et peut-être une brioche). 

À bientôt!

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